Pourquoi les banques cèdent aux sirènes du « cloud »
Les établissements français font appel aux géants de la tech afin de dématérialiser leur informatique. Leur objectif : innover pour satisfaire leurs clients et réaliser des économies.
Publié le 01-07-2019 par Juliette Raynal
L'espace de stockage de votre smartphone est saturé. Impossible de prendre une nouvelle photo, d'ajouter un autre titre à votre bibliothèque de musique ou de télécharger une nouvelle application. Deux options se présentent alors à vous : l'achat d'un nouveau téléphone dont la capacité de stockage est plus importante, ou le recours à un service comme iCloud d'Apple. Dans ce cas, vos photos ne sont plus stockées physiquement dans votre appareil, mais dans les nuages ou plus exactement, et dans cet exemple précis, dans un serveur d'un centre de données de l'entreprise californienne. Ces informations deviennent alors accessibles à la demande et en temps réel via une simple connexion Internet. C'est ce qu'on appelle le cloud computing, ou informatique dans les nuages en bon français.
Informatique moins onéreuse et plus souple
Cette technologie, que, nous particuliers, utilisons quotidiennement sans même nous en rendre compte, en consultant notre messagerie en ligne, en jouant à des jeux vidéo en réseau ou en visionnant un film en streaming, est également utilisée par les entreprises de tous les secteurs industriels, attirées par une informatique moins onéreuse et plus souple, y compris les banques.
À l'horizon 2022, BNP Paribas, accompagnée d'IBM et de Microsoft, entend basculer 80% de son informatique dans les nuages. Même trajectoire pour la Société Générale, qui prévoit de migrer 80 % de son informatique d'ici à 2020, contre 65% aujourd'hui. Les autres grands établissements tri
Les dernières actualités
Publié le 03/05/2024 à 10:42:21
L'Allemagne accuse la Russie d'une cyberattaque « intolérable » contre les membres d'un de ses partis politiquesPublié le 03/05/2024 à 10:42:21
Séoul accuse la Corée du Nord de préparer des attaques « terroristes » contre ses ambassadesPublié le 03/05/2024 à 10:42:17
Coup dur pour Alstom : Siemens rafle le marché des premiers TGV américainsPublié le 03/05/2024 à 10:42:16
Climat : TotalEnergies renonce à faire appel dans son procès contre GreenpeacePublié le 03/05/2024 à 10:42:08
Accord sur la fin des centrales à charbon du G7 : un coup d'épée dans l'eau pour le climat ?Publié le 03/05/2024 à 10:42:08
En France, le second souffle de l'éolien en merPublié le 03/05/2024 à 10:42:07
Assurabilité des communes : la question de la couverture du risque « émeutes » n'est toujours pas tranchéePublié le 03/05/2024 à 10:42:03
Collectivités locales : les pistes d'Eric Woerth sur la décentralisationPublié le 03/05/2024 à 10:41:55
La SNCF priée de justifier l'intérêt des aménagements ferroviaires au sud de BordeauxPublié le 02/05/2024 à 10:42:31
Microsoft va investir des sommes gigantesques dans l'IA et le cloud en Asie du Sud-EstPublié le 02/05/2024 à 10:42:27
E-commerce : les sites chinois comme Shein ou Temu font de l'ombre aux plateformes européennes de commerce en lignePublié le 02/05/2024 à 10:42:23
Japon : la faiblesse du yen fait le bonheur des touristesPublié le 02/05/2024 à 10:42:19
Crise de l'agriculture : réunion cruciale entre Emmanuel Macron et les syndicats agricolesPublié le 02/05/2024 à 10:42:15
Malgré le rebond de l'inflation, la Fed maintient ses taux échangés et écarte une haussePublié le 02/05/2024 à 10:42:11
Le système de santé français en quête de remèdesPublié le 02/05/2024 à 10:42:10
Malgré la chute des ventes de Dacia, Renault progresse plus vite que Stellantis en FrancePublié le 02/05/2024 à 10:42:06
Sous-marins : les 13 campagnes à l'exportation de Naval GroupPublié le 02/05/2024 à 10:42:02
Investissements étrangers : la France reste championne d’Europe de l’attractivité économiquePublié le 02/05/2024 à 10:41:55
Construction en bois : comment la France veut rattraper son retard en 2030