BioMérieux et COPAN remportent leurs premiers succès commerciaux

Biomérieux et Copan remportent leurs premiers succès commerciaux

BioMérieux et COPAN ont annoncé ce matin les premiers résultats commerciaux de leur partenariat stratégique.

Publié le 22-03-2016 par Laurent Baquista

Premiers succès

 

L'acteur mondial du diagnostic in vitro et le leader des solutions préanalytiques ont annoncé ce matin, dans un communiqué de presse commun, avoir remporté leurs premiers succès commerciaux dans le cadre de leur partenariat stratégique « pour la distribution et le développement conjoints de solutions visant à automatiser et à optimiser l'organisation du laboratoire de microbiologie ».

Les expertises conjuguées de BioMérieux de COPAN, qui permettent d'automatiser les process de fonctionnement des laboratoires de microbiologie, ont été retenues et utilisées dans les hôpitaux publics lyonnais pour « les accompagner dans l'automatisation de leur principal laboratoire de microbiologie qui regroupera les activités de 3 hôpitaux au même endroit », dans le cadre du projet des Hospices Civils de Lyon (HCL), précise le communiqué de presse des deux groupes.

 

 

Une stratégie payante

 

Les HCL ne sont pas les seuls à avoir choisi les solutions BioMérieux et COPAN. Le laboratoire Gen-Bio a été le premier à automatiser son laboratoire. De même, en Grande-Bretagne, le service de pathologie du Royal Wolverhampton a adopté cette solution. D'autres laboratoires de microbiologie au Royaume-Uni et en Allemagne ont également choisi BioMérieux et COPAN.

« Nous sommes très fiers de la confiance que les professionnels des laboratoires de microbiologie nous témoignent depuis plus de 50 ans. Le portefeuille élargi de solutions que nous proposons depuis notre partenariat avec COPAN constitue une réponse appropriée aux besoins de nos clients et à leurs nouveaux défis opérationnels. Cette offre s'inscrit dans notre stratégie d'innovation, visant à renforcer l'efficacité et la productivité des laboratoires et la valeur médicale du diagnostic in vitro », estime Alexandre Mérieux.

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