Pourquoi Airbus Helicopters retrouve enfin un peu d'air
Pour Airbus Helicopters, la roue est en train de tourner. Un optimisme puisé dans au moins dix raisons même si le marché international reste encore très maussade.
Publié le 24-07-2017 par Michel Cabirol
Chez Airbus Helicopters, ça turbine toujours... en dépit d'un marché international encore très, très compliqué, notamment celui de l'offshore (oil & gaz), qui reste bien déprimé. La filiale hélicoptériste d'Airbus fait mieux que résister depuis le début de l'année. Bien sûr, la reprise du marché n'est pas attendue "avant un ou deux ans" comme l'a confirmé à La Tribune lors du salon du Bourget, le PDG de Safran Helicopter Engines Bruno Even. Mais le premier semestre 2017 d'Airbus Helicopters, qui a été plutôt satisfaisant sur le volet commercial, est porteur d'espoirs pour le constructeur de Marignane et la filière hélicoptériste française. D'autant que la nouvelle usine ultramoderne de Dugny (région parisienne) monte en cadence.
"Je ne vois pas de reprise en 2017, a expliqué Bruno Even en juin dernier. Nous sommes actuellement dans un bas de cycle et je ne vois pas le marché continuer à se dégrader. Toutefois, la reprise n'interviendra pas avant un ou deux ans. Nous avons des fondamentaux solides pour attendre la reprise".
Airbus Helicopters à la relance
Pourquoi un tel optimisme ? Airbus Helicopters baigne dans un climat beaucoup plus positif que lors des deux dernières années qui ont été décevantes. Plusieurs décisions ont enfin tourné en faveur du constructeur comme l'autorisation de la reprise des vols du H225 en Norvège et Grande-Bretagne (1). C'est également le cas de l'intention de Paris, annoncée en mars dernier, de commander au constructeur franco-allemand "de 160 à
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