Mesagraph, la nouvelle pépite française de Twitter
Le géant américain Twitter vient de racheter la start-up française Mesagraph, spécialisée dans la mesure d'audience et la télévision sociale. Une acquisition stratégique qui souligne l'évolution des réseaux sociaux.
Publié le 02-04-2014 par Laurent Baquista
Le rachat de Mesagraph par Twitter
Cette semaine, le réseau social Twitter a racheté 2 sociétés spécialisées dans la mesure d'audience : le britannique SecondSync et la start-up française Mesagraph. Le montant de ces acquisitions n'a pour l'heure pas été dévoilé, et le géant américain s'est refusé à tout commentaire. Dans un communiqué diffusé sur le site web de Mesagraph, les fondateurs de la start-up se réjouissent cependant de l'attrait de Twitter pour la télévision sociale. Mesagraph peut en effet se targuer d'une solide expertise dans la mesure d'audience sur les réseaux sociaux, une véritable source d'opportunités pour les annonceurs. A noter que les équipes de Mesagraph seront intégrées au bureau londonien de Twitter, afin de miser sur la synergie entre les différentes entités du groupe.
Mesagraph, un observatoire de la "social TV"
Créée en 2010 par trois ingénieurs, la start-up Mesagraph a développé un moteur de recherche pour réseaux sociaux, avant d'évoluer vers l'analyse des données de Twitter. Les fondateurs de Mesagraph ont rapidement pris conscience du filon de la télévision sociale, c'est-à-dire l'analyse de la popularité des programmes TV sur les réseaux sociaux. La start-up a ainsi lancé un baromètre hebdomadaire des émissions les plus commentées, sans oublier une étude sur la « social TV » en partenariat avec Médiamétrie. Des compétences stratégiques qui ont permis d'enrichir le portefeuille de clients de la start-up : Microsoft, TF1, M6 Métropole Télévision, Canal+, France Télévisions, etc.
Les dernières actualités
Publié le 04/05/2024 à 10:42:50
Agriculture : les députés retoquent une mesure pour faciliter l'installationPublié le 04/05/2024 à 10:42:44
Atos : les créanciers ouvrent la voie à un sauvetagePublié le 04/05/2024 à 10:42:38
Nouvelle loi logement : le ministre Kasbarian promet « ni obligation ni contraintes nouvelles pour les maires »Publié le 04/05/2024 à 10:42:31
L'intelligence artificielle consomme trop d'eau : comment contrôler sa soif ?Publié le 04/05/2024 à 10:42:24
Low-cost long-courrier : « Je crois que nous réussirons, j'ai parié beaucoup d'argent là-dessus », Bjørn Tore Larsen (Norse)Publié le 04/05/2024 à 10:42:17
Allemagne : un important incendie s'est déclaré dans une usine d'armement à Berlin, qui fournit du matériel à l'UkrainePublié le 04/05/2024 à 10:42:17
Les banques françaises battent le consensus des analystes au premier trimestrePublié le 04/05/2024 à 10:42:10
« Shrinkflation », délais de paiement : Bercy veut serrer la vis sur les plus grandes fraudes à la consommationPublié le 04/05/2024 à 10:42:03
L'inflation, ce poison que n'arrive toujours pas à endiguer la TurquiePublié le 04/05/2024 à 10:41:55
Automobile : des voitures électriques chinoises à moins de 20.000 euros devraient déferler en France dès cette annéePublié le 03/05/2024 à 10:42:21
L'Allemagne accuse la Russie d'une cyberattaque « intolérable » contre les membres d'un de ses partis politiquesPublié le 03/05/2024 à 10:42:21
Séoul accuse la Corée du Nord de préparer des attaques « terroristes » contre ses ambassadesPublié le 03/05/2024 à 10:42:17
Coup dur pour Alstom : Siemens rafle le marché des premiers TGV américainsPublié le 03/05/2024 à 10:42:16
Climat : TotalEnergies renonce à faire appel dans son procès contre GreenpeacePublié le 03/05/2024 à 10:42:08
Accord sur la fin des centrales à charbon du G7 : un coup d'épée dans l'eau pour le climat ?Publié le 03/05/2024 à 10:42:08
En France, le second souffle de l'éolien en merPublié le 03/05/2024 à 10:42:07
Assurabilité des communes : la question de la couverture du risque « émeutes » n'est toujours pas tranchéePublié le 03/05/2024 à 10:42:03
Collectivités locales : les pistes d'Eric Woerth sur la décentralisationPublié le 03/05/2024 à 10:41:55
La SNCF priée de justifier l'intérêt des aménagements ferroviaires au sud de Bordeaux