Vivendi lance la version française du légendaire magazine "Harper's Bazaar"

Vivendi lance la version française du légendaire magazine "Harper's Bazaar"

La première édition française du magazine 'Harper's Bazaar' sera dans les kiosques le 23 février.

Publié le 21-02-2023 par Esther Buitekant

10 numéros par an


C'est une légende de la presse qui s'apprête à faire son arrivée en France. 'Harper's Bazaar', magazine de mode américain fondé en 1887, va être lancé dans l'hexagone ce vendredi. Aux commandes de la version française du célèbre mensuel, Prisma Media, le pôle presse du groupe Vivendi. Grâce au contrat de licence conclu entre le propriétaire de la marque, Hearst Magazine International, et le groupe français, 'Harper's Bazaar' va donc connaître la première édition française de son histoire. 10 numéros paraîtront par an, dont deux doubles l'été et en décembre-janvier, et 'Harper's Bazaar' disposera également d'un site internet et d'une présence sur les réseaux sociaux. Matthias Gurtler, déjà chargé du magazine Gala, sera le directeur de la rédaction alors que la rédaction en chef sera confiée à Olivier Lalanne, ex-rédacteur en chef adjoint de Vogue et ex-rédacteur en chef de Vogue Homme et GQ.


'Un écrin français à la hauteur de sa légende'


'Pour son premier numéro, la rédaction a voulu représenter la 'femme Bazaar' dans toute sa diversité à travers quatre couvertures collector de mannequins incarnant la nouvelle génération de la mode.', indique Prisma Media dans un communiqué. 'Nous sommes fiers et heureux de la naissance de Harper's Bazaar en France, berceau de la mode et de la création. Nous l'avons conçu comme une célébration de la beauté et de l'esprit français', s'enthousiasme Claire Léost, la présidente du groupe. Matthias Gurtler évoque quant à lui 'un écrin français à la hauteur de sa légende'. 'Harper's Bazaar made in France est la variation originale d'un mythe de la presse magazine, adulé pour sa liberté de ton, son esprit subjectif, son pouvoir de prescription et la beauté de son geste artistique.', observe Olivier Lalanne.

 

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