Ils ont misé sur les énergies renouvelables pour des raisons environnementales. Mais, face à la hausse des prix dans le domaine de l'énergie, ils ne regrettent pas leur choix. C'est le cas par exemple de Disneyland Paris. La centrale solaire du parc fait la taille de 27 terrains de football et surplombe un parking de 11 000 places. Disneyland Paris, qui a aussi opté pour la géothermie, n'est pas le seul parc à avoir eu l'idée de se tourner vers les énergies renouvelables.

Le Futuroscope aussi

Le Futuroscope et Europa-Park ont aussi choisi les ressources naturelles. Au sein d'Europa-Park, on trouve ainsi des centrales hydroélectriques mais également des installations photovoltaïques. Le parc s'est même allié avec le groupe allemand Mosolf pour développer une installation de plus de 20 hectares (30 millions d'euros) et qui permettra de produire 25 gigawatts heures d'électricité. L'installation devrait être mise en service dès l'année prochaine. Qu'en est-il du Futuroscope ? Des ombrières photovoltaïques sont également au programme. « L'objectif est d'être en autoconsommation sur la production photovoltaïque, notamment pour alimenter les thermofrigo-pompes [géothermiques], voire les attractions » explique Thierry Pirodeau (directeur maintenance développement, chargé des dossiers énergie et environnement). Pour faire face à la crise énergétique, d'autres parcs ont choisi de réduire la vitesse des attractions et de mieux gérer l'emploi des fours et autres équipements de restauration.