60 millions d'euros, 100 millions bonus inclus ? Les émoluments versés, d'après les médias italiens et anglo-saxons, à Lewis Hamilton par son nouvel employeur donnent le vertige. Ces chiffres font du pilote anglais le mieux payé de ce sport déjà généreux.

La superstar aux sept titres mondiaux (entre 2008 et 2020) - un record partagé avec l'ancienne idole de la Scuderia Michael Schumacher - devancerait sur ce terrain le quadruple tenant du championnat, Max Verstappen (Red Bull), et ses 57 millions d'euros annuels, hors primes.

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Ce contrat signé avec Ferrari, parmi les plus élevés de l'histoire de la formule 1, Hamilton le doit d'abord à son habileté au volant. Et sa maestria reste intacte, même après 105 victoires en 356 Grands Prix disputés. Sa toute première apparition au volant de la SF-25, mercredi sur le circuit italien de Fiorano, a déclenché des rêves de triomphe chez les admirateurs du cheval cabré, sevrés de victoire finale depuis près de deux décennies ; le sacre en 2007 de Kimi Räikkönen semble remonter à la préhistoire.

La prochaine sortie, à partir de mercredi à Bahreïn, pour les essais hivernaux, sera scrutée par la concurrence, chronomètre en main. Le pilote de 40 ans sera encore plus attendu le 16 mars, pour le Grand Prix d'ouverture de la saison, à Melbourne (Australie).

En Bourse, les chiffres s'envolent

En attendant, c'est en dehors des circuits que son talent s'exprime. Sa popularité et son aura se sont encore étof