Cyberattaques : 48 pays vont s'engager à ne plus payer de rançon

Les Etats-Unis comptent obtenir cette semaine l'engagement d'une quarantaine de pays alliés pour ne plus verser d'argent à l'avenir en cas d'attaque par « rançongiciel », a déclaré la conseillère cybesécurité de la Maison Blanche.
Publié le 01-11-2023 par latribune.fr
La riposte à la cybercriminalité s'organise. Les Etats-Unis comptent obtenir cette semaine un engagement international d'une quarantaine de pays alliés à ne plus verser d'argent à l'avenir en cas d'attaque par « rançongiciel » (ransomware), a déclaré Anne Neuberger, chargée des questions de cybersécurité au sein du Conseil national de sécurité, lors d'un entretien avec des journalistes.
Quarante-huit pays au total, rejoints par l'Union européenne et Interpol, pourraient donc signer une déclaration conjointe marquant cet engagement à l'occasion d'un sommet se déroulant mardi et mercredi à Washington. « Nous sommes encore en train de finaliser les signatures de chaque membre, mais nous y sommes presque », a confirmé une source proche de Washington.
La Maison Blanche à l'initiative
L'administration du président Joe Biden avait lancé il y a deux ans une initiative internationale pour mieux organiser la lutte contre les « rançongiciels », ces attaques informatiques qui touchent entreprises et administrations.
Les « rançongiciels » sont des programmes de piratage informatique qui imposent à leurs victimes, personnes ou organisations, de payer pour récupérer l'accès à leurs données, généralement une rançon à verser en bitcoin ou autre cryptomonnaie. Berceau et siège jusqu'à aujourd'hui des géants informatiques, les Etats-Unis restent le pays le plus touché, a rappelé Anne Neuberger, et concentrent « 46% des
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