Brexit : les Britanniques peinent à obtenir des concessions de Bruxelles

À trois semaines de la date officielle du divorce, des responsables britanniques ont discuté pendant quatre heures mardi à Bruxelles avec le négociateur de l'Union européenne sur le Brexit Michel Barnier, sans qu'un accord soit trouvé. Les pourparlers doivent reprendre ce mercredi, notamment sur la question du backstop irlandais (toujours).
Publié le 06-03-2019 par latribune.fr
Pas de déblocage en vue. Envoyés mardi en délégation par la Première ministre britannique Theresa May, le ministre du Brexit, Stephen Barclay, et le procureur général britannique Geoffrey Cox, se sont entretenus pendant quatre heures avec Michel Barnier afin d'obtenir des retouches au plan de sortie massivement rejeté en janvier par le Parlement britannique. Selon des sources proches des deux délégations, aucun accord n'a été scellé à l'issue de ces pourparlers, qui doivent reprendre ce mercredi entre des subalternes.
Le rejet massif par la Chambre des communes de l'accord négocié par Theresa May avec Bruxelles a jeté le trouble sur les contours du Brexit - et sur l'éventualité même d'un Brexit. La Première ministre tente depuis de renégocier avec les Européens le "backstop" nord-irlandais.
Ce mécanisme de dernier recours doit éviter le rétablissement de contrôles douaniers le long des 500 km de frontière entre la République d'Irlande et la province britannique d'Irlande du Nord.
Sortie toujours souhaitée pour le 29 mars
Un peu plus tôt mardi, le secrétaire au Foreign Office a déclaré que le gouvernement britannique voulait toujours "quitter (l'UE) à la fin du mois".
Jeremy Hunt a aussi souligné que l'avis juridique de Geoffrey Cox sur les modifications négociées entre Bruxelles et Londres serait déterminant pour les députés. En décembre, l'Attorney General avait estimé que l'accord de retrait négocié par Theresa May risquait de piéger "indéfiniment" le Royaume-Uni dans une u
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