Ça fait une datede plus à cocher pour Bruno Retailleau. Elle a été confirmée auprès de La Tribune Dimanche par le ministère de l'Intérieur, celui-là même qu'occupe l'ex-élu de Vendée. Les élections législatives partielles provoquées par une récente salve d'invalidations du Conseil constitutionnel - à Paris, dans le Tarn-et-Garonne et pour les Français vivant dans la péninsule Ibérique - auront bien lieu les 21 et 28 septembre.

Ce sera en pleine session extraordinaire de rentrée à l'Assemblée nationale. De quoi mettre en tension le socle parlementaire de François Bayrou, déjà très divisé, à quelques semaines de l'examen d'un budget de rigueur qui ne réjouit personne.

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Les Républicains n'ont eu aucun répit. La 2e circonscription de la capitale (qui recouvre le 5e et une partie des 6e et 7e arrondissements) est le théâtre d'une lutte intestine comme la droite locale sait les mettre en scène. Le siège de député perdu par Renaissance, tenu jusqu'alors par un fidèle de Rachida Dati, est convoité par Michel Barnier. Initialement séduite par le projet, celle qui briguera la succession d'Anne Hidalgo aux prochaines municipales a cru flairer un coup des barons LR qui veulent sa peau. D'où sa menace de se présenter en dissidence contre son ancien Premier ministre.

Là n'est qu'une des nombreuses tuiles sur la route de Bruno Retailleau, président de parti incontesté mais soumis à de lourdes pressions. Le sacerdoce de la Pla