Pourquoi Safran envisage de vendre ses activités de sécurité
Le directeur général de Safran Philippe Petitcolin a lancé une étude afin d'examiner les options possibles (vente, adossement ou développement) pour le futur des activités de sécurité de son groupe.
Publié le 15-03-2016 par Michel Cabirol
Safran va-t-il rester dans la sécurité? Pas sûr. En tout cas, l'équipementier, qui souhaite se recentrer sur l'aéronautique et la défense, se pose fortement la question. Il a d'ailleurs lancé une étude pour examiner toutes les options possibles sur le futur de ses activités sécurité, regroupées dans la filiale Morpho, leader mondial de l'identification biométrique, des documents officiels, des cartes à puces et de l'identification automatisée par les empreintes, l'iris et le visage. Elle emploie 8.600 salariés pour un chiffre d'affaires de 1,5 milliard d'euros. Soit 10% des ventes du groupe. La décision sera prise avant la fin de l'année, a indiqué à Londres à des journalistes français le directeur général de Safran, Philippe Petitcolin.
"Nous nous posons la question et nous regardons toutes les options qui se présentent en ouvrant le spectre le plus large possible. C'est pourquoi nous lançons une étude sur le futur des activités identité et sécurité", a expliqué le patron opérationnel de Safran.
Trois options se présentent en fait à Safran. Le groupe va-t-il continuer à se développer sur ces segments de marché (identité et sécurité) et donc investir, via des acquisitions. Ou bien Safran va-t-il vendre ou encore s'allier avec un autre groupe. "La palette est totalement ouverte", a précisé Philippe Petitcolin, qui s'était interrogé sur les activités de sécurité dès son arrivée à la tête de Safran. Pour autant, la tendance serait de vendre cette activité dans lequel Safran a b
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