Mark Zuckerberg assume 

Mark Zuckerberg, le PDG de Meta, la maison mère de Facebook, a annoncé dans un message adressé aux employés que l'entreprise allait supprimer plus de 11.000 emplois, soit environ 13 % de sa masse salariale. 'Je veux assumer la responsabilité de ces décisions et de la façon dont nous en sommes arrivés là. Je sais que c'est difficile pour tout le monde, et je suis particulièrement désolé pour ceux qui sont touchés', a expliqué Mark Zuckerberg. 'C'est un moment triste, et il n'y a pas moyen de l'éviter", a-t-il ajouté, précisant qu'il avait eu tort 'de supposer qu'une augmentation de l'activité en ligne pendant la pandémie se poursuivrait'. "Non seulement le commerce en ligne est revenu aux tendances antérieures, mais le ralentissement macroéconomique, l'intensification de la concurrence et la perte de signal publicitaire ont fait que nos revenus ont été bien inférieurs à ce que j'avais prévu.', a analysé le fondateur de Facebook.

Meta 'victime' d'Apple

Mark Zuckerberg, qui a confirmé que l'entreprise allait continuer à investir dans la réalité virtuelle, a explicitement pointé du doigt les modifications apportées par Apple en matière de protection de la vie privée, affirmant que la perte de données était l'un des facteurs de la baisse des revenus de Meta. Dans sa note aux employés, il a également indiqué que l'entreprise allait offrir aux employés américains des indemnités de licenciement à partir de 16 semaines, ainsi qu'une assistance médicale pendant six mois. Les personnes titulaires d'un visa d'immigrant recevront l'aide de "spécialistes de l'immigration".