La fusion entre T-Mobile et Sprint franchit un pas supplémentaire

Sprint et t-mobile, a suivre a wall street

Après des années d'efforts pour officialiser leur union, les troisième et quatrième plus grands opérateurs mobiles des États-Unis n'ont jamais été aussi proches du mariage, avec la décision, prise par l'État de New York, de ne pas contester l'accord de fusion conclu en 2018.

Publié le 17-02-2020 par Reuters

L'État de New York a renoncé à combattre le rachat de l'opérateur télécoms Sprint par son concurrent T-Mobile US, indiquant dimanche qu'il ne ferait pas appel de la décision d'un juge fédéral américain autorisant cette fusion.

La procureure générale de l'État de New York, Letitia James, a déclaré que ses services allaient mettre fin à la procédure engagée pour contester l'accord de fusion conclu en 2018 par les troisième et quatrième plus grands opérateurs mobiles des États-Unis.

Elle a fait savoir dans un communiqué que ses services espéraient plutôt "travailler avec toutes les parties pour garantir que les consommateurs profiteront des meilleurs prix et services possibles, que les réseaux seront bâtis à travers tout l'État, et que des emplois bien rémunérés seront créés à New York".

Derniers obstacles

Le juge de district Victor Marrero a rejeté mardi le recours déposé par dix États pour bloquer la reprise de Sprint par T-Mobile, opération qui avait au préalable obtenu l'an dernier le feu vert du département américain de la Justice.

Le bureau du procureur général de Californie a indiqué qu'il étudiait cette décision de justice et ses options.

Plusieurs États ont par le passé mis fin à toute procédure judiciaire pour se focaliser sur l'emploi.

En octobre dernier, le Colorado a imité le Mississippi en concluant un accord avec T-Mobile et Dish Network, qui va acquérir les actifs cédés dans le cadre de la fusion, afin d'obtenir la garantie de 2.000 emplois dans l'État et du dépl

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