L'Europe va donner son accord au rachat d'Arianespace par Airbus Safran Launchers
Selon nos informations, la commission européenne va dans les jours prochains accepter l'acquisition d'Arianespace par la coentreprise Airbus Safran Launchers.
Publié le 18-07-2016 par Michel Cabirol
Selon nos informations, la commission européenne va dans les jours prochains accepter l'acquisition d'Arianespace par la coentreprise Airbus Safran Launchers (ASL). Elle pourrait annoncer sa décision dès mercredi 20 juillet et au plus tard le 10 août. ASL va donc pouvoir acheter la participation que le CNES détient dans Arianespace, soit 34,68%.
La filiale à 50-50 entre Airbus et Safran possédera 75% du capital de la société européenne de services de lancement de satellites, présidée par Stéphane Israël. La Commission avait ouvert fin février à la très grande surprise d'Airbus une enquête approfondie afin d'examiner ce projet d'acquisition, qui aurait pu mettre Arianespace en position de monopole.
Elle craignait que "l'opération n'entraîne un recul de l'innovation et une hausse des prix sur les marchés des satellites et des services de lancement". La Commissaire chargée de la politique de concurrence, Margrethe Vestager, avait estimé qu'une "industrie spatiale concurrentielle est essentielle pour renforcer la base industrielle de l'UE et stimuler notre compétitivité générale".
Pourquoi la commission a-t-elle donné son feu vert?
Comment ASL a-t-il obtenu l'accord de la Commission, qui a priori n'était pas favorable à ce projet? Selon nos informations, ASL a passé au printemps un accord avec Avio, qui a développé et fabriqué le lanceur italien Vega au sein d'ELV, une entreprise commune réunissant le motoriste et l'Agence spatiale italienne. Cet accord a fait pencher la balance
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