En décembre, le groupement rapporte une hausse de 21,7 % des immatriculations de nouveaux véhicules particuliers en Europe. Un record pour cette période, notamment influencé par la comparaison avec décembre 2018. Différentes circonstances en Europe ont également soutenu ce taux. 

A titre d'exemple, la France profite d'une croissance de ses immatriculations de 27,7 %. En décembre, elle a annoncé une révision de son système de bonus-malus écologique. Le budget français passera à 400 millions d'euros en 2020 contre 260 millions en 2019. Le but étant de quintupler les ventes de véhicules électriques entre 2017 et 2022. 

Un dernier trimestre solide

Sur l'année, la hausse des immatriculations européennes est de 1,2 %. Les premiers mois de 2019 ont encore supporté les effets de l'instauration du processus WLTP (Worldwide Harmonized Vehicle Test Procedure), soit une méthode d'homologation entrée en vigueur en septembre 2018. Côté constructeurs, le groupe Volkswagen profite d'une augmentation annuelle de ses immatriculations de 3,1 %. Toyota enregistre une hausse de 4,9 % et Daimler de 5,3 %.  Chez Volvo, elle s'élève à 7,5 %.

Les résultats de 2019 ont surtout été soutenus par son dernier trimestre. Sur les marchés européens les plus conséquents, on note une augmentation annuelle des immatriculations de véhicules particuliers de 5 % en Allemagne, de 1,9 % en France et une baisse de 4,8 % en Espagne et de 2,4 % en Angleterre.