G7 : Une charte contre la haine en ligne
Parmi les sujets abordés à Biarritz figure la vie numérique. Prévue d'abord vendredi, les chefs d'états attendent la signature d'une charte contre la haine en ligne et la diffusion de contenus terroristes ce lundi.
Publié le 26-08-2019 par Alexandra Nuiry
La Charte pour un internet ouvert, libre et sûr devrait être paraphée aujourd'hui. Ce document fait suite à l'Appel de Christchurch, rédigé à Paris le 15 mai dernier. Le texte du sommet représenterait un progrès quant à la gestion des contenus haineux, extrémistes et à caractère terroriste diffusés notamment sur les réseaux sociaux. Il prévoit une meilleure modération et une suppression plus efficace des contenus concernés. Il sera présenté aux états partenaires une fois les signatures des réseaux sociaux obtenues.
Transparence et coopération
Les états partenaires du G7 appellent à une adoption de cette charte non seulement par les entreprises high-tech mais aussi par les gouvernements et par les utilisateurs de ces services. Du côté des plateformes, ils attendent les signatures de Google, de Facebook ou encore de Snapchat. Des désaccords diplomatiques en fin de semaine dernière auraient toutefois entraîné un retard dans la procédure. Le gouvernement américain a pourtant affirmé ne pas avoir partagé d'avis sur la question ni avoir influé sur la signature.
Un outil pour les états
La France s'est montrée optimiste sur la concrétisation prochaine de ce projet. Le pays hôte évoque 'un outil puissant' pour renforcer les échanges et la croissance économique des pays signataires. La Charte s'inscrit par ailleurs dans un corpus où figurent déjà le projet Tech Against Terrorism du Comité antiterroriste des Nations Unies ou encore le processus d'Aqba.
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