Engie : se transformer au-delà des énergies renouvelables

Isabelle kocher, nouvelle directrice generale d'engie

Tout en revendiquant la première place sur le marché français de l'éolien et du solaire, l'énergéticien vise aussi l'élaboration de solutions décentralisées impliquant bien plus que la production d'énergie décarbonée.

Publié le 16-01-2018 par Dominique Pialot

C'est au dernier étage du musée du Quai Branly qu'Isabelle Kocher a choisi de présenter ses voeux à la presse ce 15 janvier. L'occasion pour la directrice générale d'Engie de rappeler que la fondation, mécène du musée, est impliquée dans la rénovation du mur végétal, et, surtout, que l'établissement est un client de sa filiale de « facility management » Cofely. A ce titre, le groupe pilote l'ensemble des services de ce site qui comprend cinq bâtiments - dont un théâtre et une salle de cinéma - construits sur 46.660 m² et un jardin de 18.000 m², et accueille chaque mois 125.000 visiteurs. Au-delà de l'accompagnement sur le plan énergétique (maîtrise des coûts et performance), les équipes d'Engie assurent le confort de ces visiteurs ou encore la sécurité des biens et des personnes. Un exemple parmi d'autres de ces « solutions décentralisées » dont la fourniture d'énergie n'est qu'un volet, et qui constituent désormais l'un des trois piliers du développement d'Engie, avec son métier historique de gestion de grands réseaux d'électricité et surtout de gaz, et la production d'énergie décarbonée.

Bientôt 32 GW de renouvelables en portefeuille

Sur ce dernier point, Isabelle Kocher se réjouit d'avoir développé depuis deux ans pas moins de 6 gigawatts (GW) de nouvelles capacités renouvelables dans le monde - l'équivalent de six Fessenheim - précise-t-elle, auxquels s'ajoutent 6 autres GW sur le point d'être construits. Ces 12 GW viennent compléter un portefeuille existant de 20 GW - inc

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