Déficit à 2,5% : Le Maire l'avait promis, "les comptes publics seront tenus"
D'après l'Insee, la baisse du déficit public s'explique notamment par une hausse des recettes, et ce, malgré les baisses d'impôts mises en place par le gouvernement et malgré une croissance plus faible que prévu. Des chiffres qui sont une très bonne nouvelle pour le gouvernement, même s'il a dû rabattre de son ambition initiale.
Publié le 26-03-2019 par AFP
La France a enregistré un déficit public légèrement moins élevé que prévu en 2018, à 2,5% du produit intérieur brut (PIB) au lieu des 2,6% promis par le gouvernement, a annoncé mardi l'Insee dans un communiqué.
Le solde des comptes publics s'affiche par ailleurs en recul par rapport à 2017, précise l'organisme public, qui a revu le déficit à la hausse à 2,8% pour la première année du quinquennat Macron, au lieu des 2,6% jusque-là annoncés.
Ces résultats ont permis à la dette publique de se stabiliser en pourcentage du PIB à 98,4%, soit le même niveau qu'en 2017. En valeur nominale, la dette des administrations publiques a néanmoins progressé de 56,6 milliards d'euros, pour atteindre 2.315 milliards d'euros, selon l'Insee.
"En stabilisant la dette publique et en réduisant plus que prévu notre déficit à 2,5% en 2018, nous avons mis fin à la dérive continue de nos finances publiques depuis plus de 10 ans", s'est félicité sur twitter le ministre de l'Economie Bruno Le Maire.
"Nous allons poursuivre le redressement de nos comptes tout en continuant la baisse des impôts", a-t-il ajouté.
D'après l'Insee, la baisse du déficit public s'explique notamment pa
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