Le printemps 2020 fut inédit. Inédit par l'ampleur de la crise que le monde entier a dû affronter, par les transformations radicales de nos façons de consommer, d'échanger, de vivre, mais aussi par l'élan de solidarité qui s'est manifesté : nous nous sommes organisés pour faire face, maintenir le lien social, permettre à l'économie de fonctionner et au savoir d'être partagé. Chaque secteur de l'économie, chaque acteur du quotidien, a trouvé des alternatives. Les visioconférences (et le désormais célèbre "apéro-visio"), les achats à distance, les opérations en lignes ont devenus notre nouvelle normalité.

La technologie, souvent perçue comme un outil froid et déshumanisé, a permis à la société de tenir et à l'État de continuer à fonctionner. Nous sommes devenus collectivement les ambassadeurs de la révolution digitale que nous observions de loin et pour laquelle une vraie expertise existait en France depuis plusieurs années. Accéder à nos comptes bancaires en ligne ou à des services gouvernementaux à distance, utiliser les solutions de paiement "sans contact"... autant d'habitudes adoptées quasi malgré nous.

La confiance, clé de voute du numérique

Dans l'ombre, les équipes opérationnelles et les experts du numérique ont continué malgré la crise à développer et à délivrer des solutions indispensables à notre nouvelle réalité, qu'il s'agisse de technologies de paiement sans contact, basées sur des technologies de pointe, ou encore de solutions accompagnant le développement de la