Après les États-Unis, Toys'R'Us envisage de licencier en France
Entre 200 et 250 licenciements sont prévus chez Toys'R'Us France en fonction des offres déposées pour la reprise de la filiale du géant américain de la distribution de jouets, selon les syndicats qui ont dénoncé mardi un projet de plan social "indécent".
Publié le 12-09-2018 par latribune.fr
Trois candidats à la reprise de Toys'R'Us, placé en redressement judiciaire en juillet, ont déposé une offre "globale" au tribunal de commerce d'Évry, rappellent les syndicats CFDT et CGT et les représentants du personnel dans un communiqué.
Il s'agit, avait indiqué vendredi Jean Charretteur, directeur général de la filiale française, de Pierre Mestre (groupe Orchestra, spécialisé dans la vente d'articles de puériculture et de prêt-à-porter pour enfants) ; de Jellej Jouets, une société en cours de création qui sera contrôlée à 90% par Cyrus Capital, un des fonds créanciers des entités américaines du groupe Toys'R'Us; et enfin de la société Financière Immobilière Bordelaise, un fonds d'investissement spécialisé dans l'immobilier commercial. Cette dernière est également intéressée par le groupe de distribution de jouets Ludendo (La Grande Récré), lui aussi en redressement judiciaire.
Aucune indemnité supra-légale prévue
Sur les "1.167 salariés" de Toys'R'Us France, les licenciements "s'échelonneraient entre 200 et 250, en fonction des offres", indiquent les syndicats.
Des "salariés condamnés", selon eux, car le projet de plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) présenté mardi est "indécent", avec un budget "dérisoire" envisagé pour financer les mesures d'accompagnement (aide à la formation, mobilité géographique, aide à la création d'entreprises...) de "1.000 euros par salarié", dénoncent-ils. Aucune indemnité
Les dernières actualités
Publié le 19/04/2024 à 10:43:33
Sans nouvelle aide américaine, l’Ukraine pourrait perdre la guerre contre la Russie d'ici à la fin de l'année, alerte la CIAPublié le 19/04/2024 à 10:43:32
Les 5 infos business à retenir ce vendredi matin (Iran-Israël, pétrole, assurance chômage, Ukraine)Publié le 19/04/2024 à 10:43:32
Pétrole : les cours grimpent après les explosions en IranPublié le 19/04/2024 à 10:43:31
Pour réformer l’assurance chômage, Gabriel Attal veut durcir les règlesPublié le 19/04/2024 à 10:43:22
Llama 3 : Meta donne un avant-goût de sa nouvelle puissance de feu dans l'IAPublié le 19/04/2024 à 10:43:22
Pacte Vert, fiscalité... au Medef, les candidats aux européennes s'écharpentPublié le 19/04/2024 à 10:43:17
Assurances : excédés par les prélèvements bancaires abusifs, les victimes de la Sfam (groupe Indexia) font entendre leur voix au siègePublié le 19/04/2024 à 10:43:17
Plan d'urbanisme à Paris : les professionnels dénoncent « une aberration », le premier adjoint d'Hidalgo leur répondPublié le 19/04/2024 à 10:43:09
Ukraine : « L'outil numérique est une arme pour garder le lien avec les citoyens » (Kostiantyn Koshelenko, vice-ministre de la transformation digitale)Publié le 18/04/2024 à 10:52:48
Prix Tech for Future 2024 : Koraï crée de l'emploi en restaurant les coraux abîmés de l'océanPublié le 18/04/2024 à 10:43:34
Easyjet vise un été record... malgré un hiver toujours dans le rougePublié le 18/04/2024 à 10:43:34
Voitures électriques: les ventes toujours à la peine en EuropePublié le 18/04/2024 à 10:43:33
Les 5 infos business à retenir ce jeudi matin (Boeing, relocalisations, Ukraine, Duralex, Nasa)Publié le 18/04/2024 à 10:43:29
Sécurité des Boeing : les témoignages glaçants d’anciens employés au Sénat américainPublié le 18/04/2024 à 10:43:24
Industrie : les relocalisations s'accélèrent en Europe et aux Etats-UnisPublié le 18/04/2024 à 10:43:20
En grande difficulté financière, le verrier Duralex cherche un repreneurPublié le 18/04/2024 à 10:43:15
Meta (Facebook, Instagram) laisse la propagande pro-russe proliférer auprès de millions de Français, révèle une ONGPublié le 18/04/2024 à 10:43:14
L’industrie des télécoms accentue sa pression sur Bruxelles pour un changement de régulationPublié le 18/04/2024 à 10:43:14
Immobilier : un mauvais diagnostic énergétique (DPE) peut plomber le prix d'un bien de plus de 15%