Vente de Manchester United: les Glazer vont désormais devoir trancher
Après l'arrivée des premières offres officielles pour le rachat de Manchester United vendredi et samedi, la balle est maintenant dans le camp des propriétaires, la famille Glazer, très gourmands financièrement et qui peuvent encore décider de rester, malgré leur très grande impopularité.
Publié le 19-02-2023 par latribune.fr
Vendront, vendront pas ? Après l'arrivée des premières offres officielles pour le rachat de Manchester United vendredi et samedi, la balle est maintenant dans le camp des propriétaires, la famille Glazer, très gourmands financièrement et qui peuvent encore décider de rester, malgré leur très grande impopularité. Après des semaines de spéculations sur la nationalité et l'identité de possibles repreneurs, un petit coin du voile s'est levé sur un feuilleton qui pourrait durer encore des semaines.
Le président de la Qatar Islamic Bank (QIB), le cheikh Jassim ben Hamad al-Thani, présenté comme "un fan de longue date de Manchester United", a été le premier à faire savoir, vendredi, qu'il avait déposé une offre. Samedi, c'est le groupe de pétrochimie Ineos qui a confirmé que son propriétaire, le milliardaire britannique Jim Ratcliffe, avait lui aussi franchi le pas. "Nous sommes ambitieux et très compétitifs et nous voudrions investir au sein de Manchester United pour en faire à nouveau le club numéro un dans le monde", a écrit Ineos dans un communiqué transmis à l'AFP.
Des candidats muets sur les chiffres
Conscients du poids des supporters dans un club où la relation entre les fans et la direction est devenue invivable, Al-Thani et Ratcliffe ont fièrement revendiqué leur soutien au club depuis l'enfance - Ratcliffe est même né à Manchester. Au centre de leurs promesses se trouvent l'effacement des dettes du club - 580 millions d'euros hérités du rachat du club par endettement par l
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