Renault : comment Alpine veut entrer dans la cour des grands
Alpine est au coeur de toutes les discussions après avoir changé de directeur général ainsi qu'une bonne partie de sa direction dans l'écurie de F1. Pourtant, la marque premium de Renault affiche des objectifs ambitieux, notamment atteindre une marge opérationnelle supérieure à 10% en 2030. Pour cela, le groupe mise sur le sport automobile, ainsi que sur une gamme de modèles élargie.
Publié le 03-08-2023 par Marie Nidiau
La tension était palpable au sein de l'écurie d'Alpine ce week-end, au Grand Prix de Formule 1 de Belgique. Les départs du team principal de l'écurie, Otmar Szafnauer, du directeur sportif, Alan Permane et du directeur technique, Pat Fry ont été annoncés simultanément. Trois départs de trois figures historiques. À ces changements, on peut ajouter celui du directeur général de la marque, Laurent Rossi, remplacé par Philippe Krief le 20 juillet dernier.
Difficile de ne pas se poser des questions sur la bonne santé d'Alpine, après tous ces mouvements. D'autant que le bijou premium du groupe Renault affiche de belles ambitions. En juin dernier, Alpine annonçait un objectif de chiffre d'affaires supérieur à 8 milliards d'euros pour 2030, ainsi qu'un équilibre financier en 2026. Presque disparue, la marque de sport créée par Jean Rédélé veut désormais s'aligner aux côtés des plus grands.
La F1, porte-drapeau d'Alpine
Pour cela, le premier objectif est avant tout d'accroître la notoriété d'Alpine. « La marque est très franco-française pour l'instant. Nous voulons qu'elle soit forte en Europe, mais aussi en Asie et en Amérique du Nord. Et pour y arriver, nous comptons sur la course comme ADN de la marque », avance une source interne.
La marque de Renault s'est ainsi engagée dans un nombre important de compétitions, de la Formule 1, en passant par le rallye et bientôt la discipline reine de l'Hypercar, la LMDH, en 20
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