Comment le luxe s'approprie les NFT pour améliorer l'expérience client
Les jetons non-fongibles, bien connus pour être associés à des images numériques parfois controversées, sont aussi lorgnés par les maisons de luxe. Ces certificats numériques permettent en effet d'améliorer la traçabilité des produits et de proposer des services supplémentaires aux clients. Si le tournant pro-blockchain paraît acté par les dirigeants de marques de luxe, cette technologie est encore loin d'être utilisée par le grand public et fait face à de véritables défis. Explication.
Publié le 22-04-2023 par Maxime Heuze
Pouvoir visualiser la valeur de votre montre en temps réel, ainsi que la date à laquelle vous avez changé son bracelet sur votre espace client. De prime abord, cela semble futuriste. Des marques de luxe ont déjà mis en place ce type de services grâce à la blockchain, un registre de transactions immuable, visible sur Internet et géré par un réseau d'ordinateurs indépendants.
Au total, quarante marques et groupes de luxe, dont Breitling, Richemont ou encore Yves Saint-Laurent, ont choisi de faire confiance à Arianee, une startup française spécialisée dans la jetonisation d'objets numériques. Concrètement, l'entreprise crée un jumeau numérique d'un objet physique. Celui-ci prend la forme d'un jeton non-fongible (NFT), c'est-à-dire un certificat numérique inscrit sur la blockchain publique Polygon.
Les maisons de luxe dans une course à la jetonisation
Tous les clients des marques qui achètent les produits des partenaires d'Arianee peuvent demander les NFT liés à leurs achats, directement sur le site de la marque, sur une application dédiée, et même l'envoyer sur leur portefeuille crypto personnel.
D'autres maisons de luxe se sont aussi converties à la technologie NFT, mais en interne cette fois-ci. Ainsi, LVMH (propriétaire des marques Hublot, Bulgari ou encore Louis Vuitton) s'est associé avec Pr
Les dernières actualités
Publié le 02/06/2024 à 11:02:52
Gaza: les médiateurs appellent à « finaliser » un accord de cessez-le-feuPublié le 02/06/2024 à 10:43:38
Le rapport Woerth déçoit les élusPublié le 02/06/2024 à 10:43:34
CFM International : les cinquante ans d’une saga transatlantiquePublié le 02/06/2024 à 10:43:29
Emmanuel Faber (ISSB) : « Nous créons le code source de l’économie »Publié le 02/06/2024 à 10:43:25
Jean-Yves Le Drian : « Plus l’Europe sera forte, plus le lien sera solide avec les États-Unis »Publié le 02/06/2024 à 10:43:20
Le Pen-Bardella, les secrets d’un pactePublié le 02/06/2024 à 10:43:20
Cette dette qui nous embête !Publié le 02/06/2024 à 10:43:19
Thomas Cazenave : « Je note nos convergences avec Les Républicains »Publié le 02/06/2024 à 10:43:19
Dette publique : la dégradation par S&P qui fait malPublié le 02/06/2024 à 10:43:18
Pierre Moscovici : « On peut faire mieux sans dépenser plus ! »Publié le 02/06/2024 à 10:43:11
Sondage européennes : le bloc de gauche progressePublié le 01/06/2024 à 10:43:40
Gaza : Israël propose un cessez-le-feu, le Hamas juge l’offre « positive »Publié le 01/06/2024 à 10:43:33
L'agence Standard & Poor's dégrade la note de la France et sanctionne ses déficitsPublié le 01/06/2024 à 10:43:26
Dette, déficit... les Français sont toujours dans le flou en matière d'économie, à dix jours des européennes (sondage)Publié le 01/06/2024 à 10:43:25
Automobile : les SUV sont-ils en train de perdre du terrain ?Publié le 01/06/2024 à 10:43:25
Croissance : Bercy peut-il tenir son objectif de 1% en 2024 ?Publié le 01/06/2024 à 10:43:24
Virgil, Hestia, Neoproprio... les startups de l'immobilier à la rescousse des primo-accédants privés de créditsPublié le 01/06/2024 à 10:43:17
Notation de la France par S&P : six articles pour comprendre tous les enjeuxPublié le 01/06/2024 à 10:43:08
La France finance Moscou en important de plus en plus d’engrais produits avec du gaz russePublié le 31/05/2024 à 10:43:48
France : la création des emplois dans le privé continue de croître